Sophia Burgos

"Burgos featuring a big, dramatic sound [...] was particularly fascinating in the Sephardic Ladino ballad ‘Nani, Nani’ [...] Burgos made it her own by pursuing an earthy, intense characterization of dialogue between husband and wife."

"[...] Sophia Burgos possesses a sensuous, strikingly beautiful, deeply expressive voice."

"With a radiant singing voice and charismatic stage presence she gladdened the heart, whether singing songs of pleasure or sadness."

"La voix longue et richement timbrée de la soprano se plie à tous les registres : économe et retenue dans le 2, hurlante et dominant l’ensemble dans le 3. La Mort de l’humanité (4) [...] est sans aucun doute le numéro le plus saisissant, amorcé par le déferlement des peaux et nourri par la superposition des strates instrumentales que dominent les inflexions de la voix."

"Die exzellente Gestaltung durch die puerto-ricanische Sopranistin Sphia Burgos [...] machte hörbar, wie verloren das Ich wirkt: um Worte ringend, wofür es keine Worte gibt."

"Soprano Sophia Burgos delivered her Sprechtstimme incantations from under the lid of the Steinway, and her amplified sound was frightfully mesmerizing."

"[...] the Puerto Rican soprano Sophia Burgos, gave an astounding performance, running through all of Crumb’s oddball processes with abandon. [...] It was all quite intoxicating."

"[...] tandis que Sophia Burgos possède ce grain et cette couleur plus corsée qui conviennent parfaitement à la noirceur du personnage."

"La voix modulante en timbre et caractère est sonore dans les aigus, elle déploie avec aisance la richesse de son ambitus jusqu’à s’enfoncer dans des graves menaçants. C’est elle qui utilise le plus d’effets vocaux différents pour différencier les facettes de son personnage."

"Cette Mara machiavélique est incarnée par une expressive Sophia Burgos, qui excelle dans ce rôle tortueux, entre jalousie et remords."

"Sur le plateau, mention spéciale [...] la voix éclatante de Sophia Burgos (Mara) qui signe un solo d’anthologie dans le quatrième et dernier acte."

"[...] l’opéra est défendu vaillamment par une excellente équipe de chanteurs-comédiens : les deux sœurs possèdent des voix aux couleurs idéalement différenciées (claire et limpide pour Raphaële Kennedy, plus chaude, plus veloutée, plus dramatique pour Sophia Burgos) pour caractériser au mieux ces personnages si opposés psychologiquement et dramatiquement."

"Face à une écriture vocale aussi inventive, les chanteurs révèlent les émotions des personnages avec une formidable vérité : [...] impressionnante et complexe Mara de Sophia Burgos [...]."

"Es wird durchweg hinreißend gesungen und musiziert, mit bestechend sauberer Intonation der Solo-Soprane (Sophia Burgos [...])[...]."

"Der Engel trägt Weiß, steigt die Stiege hinab und stirbt, was einen am E-Piano sitzenden Mann lachend forttreibt. Gesang und Präsenz von Sophia Burgos hauen einen trotzdem schier um [...]."

"La voix soliste de la soprano s’élève dans le deuxième mouvement, « Kleiner Flügel Ahornsamen », « Petite aile, graine d’érable ». Clair et ingénu, tout sauf maniéré, le chant de Sophia Burgos colle parfaitement à l’atmosphère dépouillée de la pièce."

"De la même façon, la musique épouse le texte dans une jubilation incandescente. Un lyrisme très bien porté par la voix candide et presque enfantine de Sophia Burgos, chanteuse plus sensible à l’humain qu’aux esthétiques. Rien de superflu dans cette écriture souple et entière à la fois, aux antipodes du collage, pas même les à peine perceptibles bruits de bouche ou les coups de paume sur l’embouchure du cor, qui prennent place naturellement dans un tout poétique. Décoiffant!"

"Soprano Sophia Burgos sang with luminous tone, even projection, and terrific enunciation of her texts."

"Three excellent soloists joined Porco and members of the Cincinnati Symphony Orchestra in the all-American program.
Perhaps the greatest discovery was Schneider’s “Winter Morning Walks”, with soprano Sophia Burgos as soloist[...] In her festival debut, Burgos was a rapturous soloist. “Perfectly Still This Solstice Morning” was atmospheric and glowing – you didn’t want it to end. The composer displayed her gift for melody in “Walking by Flashlight”, a ballad-like song. The pianist carried the tune forward with lovely improvisations, and Burgos’ high notes were rich and warm. Each song had distinctive poetic touches, and when words couldn’t communicate any further, the composer provided Burgos with wordless vocalises."

"His Teresa is a revelation: the young Puerto-Rican soprano Sophia Burgos sings with bright, youthful confidence, delicious in 'Entre l'amour' (Act 1), where there is a marvellous use of portamento. Yet she has also the sensitivity to make her Act 2 prayer duet with Cellini's apprentice Ascanio an unforgettably lovely moment of repose."

"La partie vocale est particulièrement bien servie par Sophia Burgos [...]. Sa voix, belle et puissante, réussit à épouser toutes les nuances qu’imposent les quatre chants [...] très différents : scansion poétique, récitatif, débordement virtuose et violent, douceur de la voix fondue dans le son orchestral. Toute la palette nécessaire est là [...] avec la volonté de protéger la compréhension du texte. Grâce à cette voix si présente et émouvante, l’humanité vibrante de cette ultime pièce de Gérard Grisey se manifeste dans une spontanéité seconde, en quelque sorte au carré."

"[...] elle trouve la couleur et l’émission fragile qui conviennent à la deuxième partie [...] Flexible et autonome, la voix de Sophia Burgos dessine de longues trajectoires du grave à l’aigu sur les mots vocalisés du texte : « comme un ange » aurait sans doute ajouter Gérard Grisey. Rarement l’œuvre aura sonné avec un tel raffinement des textures et une telle séduction du timbre."

https://www.ensembleintercontemporain.com/en/2020/09/lhumain-avant-tout-entretien-avec-sophia-burgos-soprano/